Le temps n’est plus le même pour les cormorans installés sur la pointe finistérienne du Cap de la Chévre. Aujourd’hui protégés et surveillés par des ornithologues comme nous l’explique Yannig Coulomb, ils étaient autrefois chassés pour le plaisir comme en témoigne les écrits de Joseph-Emile Gridel entre 1862 et 1878 lus par Annabel Rémy.